Poésie

Non content de la musique, on se lance aussi dans la poésie (pour certains/es)
Voici quelques "oeuvres":
(pour l'instant je mets les miennes, et les autres décideront pour les leurs)

Une nuit sans lune,
dans les champs de brumes,
des ombres passaient,
vers les arbres se rendaient,
vers le ciel se tournaient,
où une lumière brillait,
ils se relevaient,
ils se déchainaient,
puis ils s'élevaient,
dans la lumière du matin,
la trompe sonnait au loin,
les appelants toujours,
à rechercher le jour,
la vie, la lumière, la paix,
en eux, l'espoir renaissait.

Les nuages,
dans le ciel,
sont volages,
sur leurs ailes,
mais la pluie,
du néant,
a un jour tiré,
les bleu océans.
Dans lesquels,
comme au ciel,
les oiseaux,
se rappellent,
la nature,
le futur,
le passé,
emporté,
par les flots,
par les eaux,
disparu,
dans les nues,
le soleil,
s'émerveille.

La mort n'est jamais qu'un passage,
qui traversa les âges,
ignorant tout du temps,
allant contre le courant,
dédaignant la vie,
n'ayant aucun ami,
mais jamais disparue,
jamais elle ne s'est tue,
elle attend et surgit,
comme une larme de vie,
abreuvant ciel et terre,
allant jusqu'aux enfers,
mais jamais disparue,
jamais elle ne mourut

La nuit s'étire, comme un songe,
son voile s'étend, dans le ciel plonge,
le temps, la vie et le vent,
tout se tait, tout s'apaise,
sous le soleil à son couchant,
devant les arbres et les falaises,
la nuit s'étend, tel un serpent,
qui se glisse, toujours droit devant.

Vole tristesse,
cache toi derrière la pluie,
toi qui enfante la détresse,
toi qui revis lors de la nuit.
Tu as détruit des vie passées,
mais tu as toujours oublié,
tu ne voudras jamais donner,
mais toujours la vie arracher.
Toi qui fuis le bonheur et la joie,
ils arrivent, enfuis toi,
ne reste jamais, plus jamais,
dans les coeurs,fuis sans arrêt,
et un jour si tu reviens,
te faisant passer pour une amie,
alors tu trouveras ta fin,
et ce jour là sera punis.
Fuis donc,ou tait toi à jamais,
quitte les hommes , quitte la terre,
et en ces lieu, revenez la paix,
la joie la vie et le bonheur,
revenez habiter ces coeurs.

L'amour est-il une chose légère,
la passion est elle passagère,
sont-ils moins forts que la colère,
la solitude, la tristesse ou la misère ?
Sont ils éteint lors de la nuit,
est-ce que le jour n'est qu'un abri,
pour deux pauvres sentiments,
qui ne savent ni pourquoi ni comment,
retrouver leur place perdue,
retrouver la force qu'ils ont eu,
redevenir aussi puissants,
que l'amour et la passion d'Avant,
seront ils un jour reconnus,
lorsqu'Elle les aura vu.

L'innocence près du mal,
le ciel près de la terre,
le rêve et l'anormal,
les tunnels et les airs,
la plume emportée,
par le vent de l'hiver,
reviendra se poser,
rabattue par les airs,
la vie se nourrira,
des nuages et des songes,
et elle ignorera,
le fer et le mensonge,
soleil, toi qui te lève,
pour aussitôt coucher,
fais fuir l'obscurité,
fais revenir les rêves,
du levant jusqu'au soir,
des étoiles masquées,
par ta face éclairée,
revivront lors du noir,
mais l'aube reviendra,
et toi à son côté,
la nuit devra passer,
et tout recommencera.

Dédicace spéciale à Anthony Vossart,
pour l'une des bêtises sortie en cours d'histoire ,
mais qui se prétait bien,
a conduire ma main,
jusqu'au lettres du clavier,
qu'elle devait rencontrer.

Et ben !! Y'en a un paquet... Je sais pas si je vais mettre les miennes, elle ne sont pas super. Je voudrais bien, mais je suis un peu timide:oops: ...Non mais bon...si j'en fais une bien je la mettrais.
popo

Dernières trouvailles:

L'ennui tel une menace,
sort de la nuit comme une nasse,
ne lachant rien, renfermant tout,
chasse la raison et puis rend fou.
Il s'étend comme la brume,
masquant le ciel, masquant la lune,
effaçant le monde aux yeux de sa proie,
l'isolant seule en un endroit,
vide, sans bruit, sans lumière,
à plus de vingt-mille lieux sous les mers.

Et:

Tel un oiseau dans le ciel,
telle une comète dans le vide,
tel un cheval courant sans selle,
telle une musique sans règle sans bride,
tel l'enfant courant sur la plaine,
tel le sang coulant dans les veines,
tel le vent soufflant sans fin,
sans rien, pour lui tenir la main,
la liberté rêvant de s'envoler,
le rêve, cherchant la liberté,
la trouvera t'il jamais ?